Le chemin de conversion du Père Jérémy Hein

Jérémy Hein nous présente sa vocation internationale et missionnaire.

Cheminement

Je suis né à Montpellier où j’ai grandi. J’en suis parti deux ans pour finir mes études à Marseille, puis en Allemagne. J’ai été éduqué dans une famille catholique. Le service de la messe à la paroisse et les scouts d’Europe ont jalonné ma route.

A 14 ans, j’ai écouté une catéchèse du Chemin néo-catéchuménal, invité par mes parents qui avaient fait de même 15 ans auparavant. J’ai alors commencé un chemin d’initiation chrétienne avec une communauté de personnes de tous âges et horizons. Là, le Seigneur m’a très patiemment donné de chercher à le rencontrer personnellement à travers mon histoire. Au fur et à mesure, il m’a séduit au point d’éprouver un appel pour la vocation presbytérale. Le combat se poursuit !

Pourquoi le diocèse de Fréjus-Toulon ?

Je fais partie du 2e séminaire présent sur le diocèse de Fréjus-Toulon, le séminaire diocésain missionnaire Redemptoris Mater-Sainte Marie-Madeleine. Ce séminaire a vocation à être international (nous sommes 14 de 9 nationalités) et missionnaire, c’est-à-dire à former des prêtres pour la nouvelle évangélisation qui acceptent d’être envoyés n’importe où en France ou dans le monde entier. Nous suivons les cours au séminaire de la Castille.

Saint préféré ?

– Les saints martyrs canadiens, sur les terres desquels est né mon premier appel vocationnel.
– Sainte Edith Stein : « J’ai toujours su – dit-elle – qu’il vaudrait mieux être bon qu’intelligent ».